Ingrid est le « centre du pentacle ». Elle a un rôle à jouer face à la résurrection prochaine du monstrueux Cthulhu. Mais, en soi, elle s’en fiche. C’est juste qu’elle est intriguée par tous ces illuminés prophétiques plus ou moins sectaires qui viennent la déranger dans son quotidien de jeune intérimaire. Est-ce que les monstres de Lovecraft existent ? C’est de manière assez détachée, mais animée d’une sincère curiosité, qu’Ingrid va enquêter sur cette question.
L’auteur français Karim Berrouka est réputé pour des ouvrages au ton décalé, comme Le club des punks contre l’apocalypse zombie. Il écrit dans un langage très oral avec de l’ironie permanente. Et Celle qui n’avait pas peur de Cthulhu n’échappe pas à la règle. Ce faisant, ce roman démystifie quelque peu Lovecraft, mais sans non plus tomber dans une parodie absurde.
Dans cette œuvre, les mythes de Lovecraft débarquent à notre époque, pour poursuivre Ingrid dans sa vie quotidienne, jusque dans le métro parisien. L’intrigue est captivante et, même si rien n’est vraiment pris au sérieux, on se prend au jeu. Que vous soyez fan de Lovecraft ou totalement néophyte, Celle qui n’avait pas peur de Cthulhu vous fera passer un sacrément bon moment — quoiqu’assez improbable.
L’auteur français Karim Berrouka est réputé pour des ouvrages au ton décalé, comme Le club des punks contre l’apocalypse zombie. Il écrit dans un langage très oral avec de l’ironie permanente. Et Celle qui n’avait pas peur de Cthulhu n’échappe pas à la règle. Ce faisant, ce roman démystifie quelque peu Lovecraft, mais sans non plus tomber dans une parodie absurde.
Dans cette œuvre, les mythes de Lovecraft débarquent à notre époque, pour poursuivre Ingrid dans sa vie quotidienne, jusque dans le métro parisien. L’intrigue est captivante et, même si rien n’est vraiment pris au sérieux, on se prend au jeu. Que vous soyez fan de Lovecraft ou totalement néophyte, Celle qui n’avait pas peur de Cthulhu vous fera passer un sacrément bon moment — quoiqu’assez improbable.